Délogs, nom donné, au Tibet, à ceux qui ont opéré accidentellement la dissociation de l'âme et du corps, et qui décrivent, à leur retour, ce qui se passe dans l'au-delà.

Tous ne décrivent pas les mêmes lieux, mais tous sont d'accord pour reconnaître que la vie y est agréable et légère. Un point commun doit être retenu aussi dans leur rapport : leur corps léger traverse les murailles, se déplace à la vitesse de la pensée, etc..., mais reste relié au corps physique par une sorte de cordon qu'il est impossible de rompre.

Encore que rien ne prouve l'identité de ce qu'un corps immatériel ressent et de ce qui attend l'homme après la mort réelle, les récits des délogs confirment en tout point ce que nous apprennent les expérimentations métapsychiques.