Physiognomonie
De la bête à l’homme (suite)

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CHRONIQUES ÉSOTÉRIQUES N°53

Physiognomonie
De la bête à l’homme (suite)

Les analogies physiques entre les hommes et les animaux ont été observées dans l'antiquité la plus reculée, ainsi que nous le disions précédemment et nous allons achever de passer en revue les différents types d'animaux auxquels les hommes peuvent être comparés. Toutefois, il faut bien avoir soin de noter qu'il est rare qu'un type humain présente des analogies avec une seule catégorie d'animaux.

Souvent, il emprunte des traits à deux ou trois types. Cependant, plus l'individualité est âprement dessinée, plus la ressemblance se détermine et se précise. En général, lorsqu'un visage présente des analogies avec plus de trois types d'animaux, on peut en conclure que sa psychologie sera d'une assez grande complication, mais qu'elle ne sera pas assez nettement définie, assez typique pour constituer une personnalité de premier ordre.

Les hommes qui se rapprochent du type du ‘lévrier’ ont un visage allongé et maigre, des yeux au regard pénétrant et très doux, un nez long et assez gros, des lèvres minces, un menton aigu et un front souvent bombé au-dessus de la racine du nez, ce qui décèle habituellement une intuition très vive. Ils ont le geste rapide et la voix sonore, une humeur affable et gaie, un caractère assez original. L'une de ses particularités est de posséder à un très haut degré l'instinct de propriété.

Les types humains qui se rapprochent de celui de ‘l'ours’ ne présentent point des caractéristiques bien intéressantes. Leur mentalité est aussi peu sympathique que leur physique. Leur tête est souvent de forme irrégulière et grossièrement taillé; leurs yeux sont petits et renfoncés, leur nez irrégulier, leur bouche tortueuse et pas plus de menton que de front.

Leur esprit est aussi lourd que leur aspect. Cependant, ils sont...

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Chroniques Ésotériques n°53
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