Au seuil du mystère
Les maisons hantées
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CHRONIQUES ÉSOTÉRIQUES N° 8
Au seuil du mystère
Les maisons hantées
Peut-on expliquer les cas très fréquents de maisons hantées de la même manière que l'on explique les phénomènes de psychométrie ?
À Turin, vit au troisième étage d'une maison située au numéro 46 de la rue Principe Amedeo la famille La Bella composée de la mère, de deux fils de quinze à dix-sept ans et de la fille Guiseppina âgée de 23 ans.
Dans sa chambre, où elle dormait seule, Mme Elvira s'éveille en entendant des craquements dans les meubles, des frottements sur les murs, qui se produisent par intervalles. Elle suppose d'abord que ces bruits sont causés par quelques souris et elle se fait prêter dès le lendemain une chatte.
Cependant, les bruits continuent de plus belle et même s'accentuent. Sur le lit, dans l'ombre, quelqu'un s'affale lourdement ; on frappe trois coups dans une armoire... On entend des bruits de pas qui glissent dans le corridor et qui se rapprochent.
Giuseppina et Giulio perçoivent ces bruits inexplicables et supposent que leur mère va et vient dans la nuit au lieu dormir. On fait des recherches qui restent sans résultat. L'on remarque entre autres que la chatte se tient dans une attitude défensive, le dos arqué, le poil hérissé. Quand on allume la lumière, les phénomènes s'arrêtent pour recommencer aussitôt que l'on se trouve de nouveau dans l'obscurité. Des.....
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