Il n'y a pas assez de professionnels ! On en discutait encore récemment, lors d'une réunion de radiesthésistes : il y a des radiesthésistes en nombre imposant, dans tous les pays, dans toutes les villes, mais très peu qui acceptent des recherches, pour le public, à titre professionnel. 

Or, chaque semaine, des gens sont en quête d'un bon radiesthésiste... pour retrouver des disparus... pour rechercher des objets perdus... des animaux égarés... pour trouver de l'eau ou contrôler les ondes nocives... pour résoudre différents problèmes (lettres anonymes, litiges et procès, affinités conjugales, études de caractère, etc.). Sans doute, du point de vue des radiesthésistes, les bons professionnels qui existent déjà (et il y en a pas mal) et qui opèrent aussi bien sur plan que sur place, devraient suffire à toutes les demandes... Mais cela, c'est théorique, car il faut tenir compte : 

— que les meilleurs radiesthésistes sont encombrés de recherches, qu'ils ne parviennent pas à traiter tous les cas en des délais raisonnables ; 

— que les recherches ont souvent un caractère d'urgence qui s'accommode très mal de ces délais et même du temps réduit que prendrait un échange de lettres ;

— que le public préfère entrer en contact direct et personnel avec le radiesthésiste, même si la recherche se fait ensuite sur plan.  Il y a donc place, dans chaque centre important, pour plusieurs professionnels, capables d'opérer les recherches courantes

— alors qu'il n'y a pas six douzaines de praticiens pour toute l’Europe occidentale, sur les dizaines de milliers de personnes qui y pratiquent notre art !
Exception faite des pays où l'activité des guérisseurs est tolérée dans certaines limites, comme la Grande-Bretagne et l'Allemagne.

Est-ce que les Cercles de Radiesthésie ne pourraient pas aider ici ? Promouvoir l'entrainement accéléré aux recherches courantes et se mettre eux-mêmes à la disposition du public, pour leur signaler, dans chaque cas, le bon opérateur, connu pour bien réussir dans les recherches semblables ? 

En attendant qu'il en soit ainsi, les radiesthésistes et les jeunes qui veulent faire une carrière ont le champ libre, à condition de bien se renseigner sur cette législation dans son pays de résidence ou là où on veut exercer.