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CHRONIQUES ÉSOTÉRIQUES N° 11
Les arts divinatoires pour
tous
La Physiognomonie dévoile le caractère caché des
êtres
Nous savons tous et nous avons communément
éprouvé que devant une physionomie nouvelle nous éprouvons un sentiment d'attraction, d'indifférence ou
d'hostilité, basé précisément sur l'impression que cette physionomie dégage.
Certains individus nous sont antipathiques
ou sympathiques à première vue; sans que nous puissions en donner, la raison et nous nous reprochons parfois de
donner une trop grande importance à un jugement aussi superficiel, pourrait-on dire.
Cependant, l’expérience nous démontre que
plus d'une fois ces impressions sont exactes, qu'il faut en tenir compte. Il nous est arrivé souvent de
regretter d'avoir voulu les dédaigner. Elles correspondent, en effet, à des caractéristiques à peu près
constantes et la sensation que nous éprouvons n'est en somme qu'une sorte de prescience qui nous permet de
deviner les qualités et les défauts de ceux que nous cherchons à juger.
Les indices d'une force vive, c'est-à-dire
d'une force qui ne se manifeste que par accident et de manière toujours irrégulière, sont en général marqués
sur des individus maigres, de taille un peu haute, à la parole brève, aux regards perçants, aux lèvres
serrées.
Quant aux signes physiognomoniques de la
faiblesse, ils sont indiqués par une taille démesurée, une charpente mince, une peau molle, des formes de
nez et de front trop arrondies, une certaine petitesse du menton et des narines, de l'incertitude dans la
démarche et dans les gestes.
Au sujet de ce qu'il appelle la
physionomie de famille, M. Robert présente les observations suivantes : .....